28/10/2009

Windows 7 : parce qu'il faut bien s'y intéresser



Microsoft tirerait-il les leçons de Vista ?

Ayant personnellement fait les frais de Windows Vista (les marques pré et post citées étant la propriété de Microsoft© et tant pis pour elle), je devrais plutôt m'intéresser à une alternative radicale à Microsoft, genre Ubuntu ou autre.
Il n'en reste pas moins que les clients qui croient en mes conseils seraient plutôt sceptiques si je les plongeais brusquement dans le monde du Libre, et pourtant...
Tous ne sont pas encore convaincus que l'informatique est un monde atypique dans le lequel le client le mieux servi n'est pas forcément celui qui paie le plus cher et vice-versa, loin s'en faut.

Donc Windows 7. Je viens de lire un article en anglais me paraissant un bon point de départ (il en vaut un autre) pour une approche de W7. Je cite la source : il s'agit d'un article en dat du 26 octobre de Bill Linder sur Infopackets.

On y trouve 5 raisons qui font que W7 sera un succès (j'en frétille déjà). Mais qui ne sont que théoriques... En effet les retours à la date d'aujourd'hui ne peuvent émaner que de bêta testeurs (je n'ai pas levé la main, mon tiroir R&D est fermé depuis longtemps).

Tout ce que m'apprend cet article c'est que "le chef de développement de Windows Steven Sinofsky a rencontré les fabricants de pc" ce qui se distingue en effet des approches précédentes où l'OS était cultivé en laboratoire et 'lancé par dessus le mur'.

Microsoft nous promet ensuite la fin des crapware, ces petits logiciels ajoutés par les constructeurs, à vocation publicitaire, ayant connu la gloire avec Vista, et allégeant le coût de revient des machines en même temps qu'ils en alourdissaient le fonctionnement.

Par ailleurs Microsoft désirait limiter à 3 le nombre d'applications lancées par son W7 version entrée de gamme destiné aux Netbooks. En principe, il n'y aura en fin de compte pas de limite de ce type.

Je retiendrai pour ma part le mode XP, qui permettra aux applications un peu anciennes de tourner immédiatement en évitant ou au moins en retardant le processus parfois délicat des mises-à-jour.

Le 5ème point est la conséquence des 4 autres : W7 démarrera 'plus rapidement' et pourra entrer en sommeil en 1 seconde et y retourner en 5 (lu par ailleurs).

En fait je serai enclin à croire tout ceci et pour une bonne raison : le noyau de W7 est Windows XP et non pas Vista. Ce dernier OS a joué le même rôle que Millénium vis-à-vis de W98 : une belle voie de garage.

Enfin, avant de publier, je me suis demandé en combien de versions serait publié W7, la réponse est 9. 5 versions 32 bits et 4 en 64 bits. Je détaillerai ces 9 versions dans un prochain article. Mieux vaut être bien informé avant d'atterrir chez le vendeur.

Une vision sereine de la migration d'un parc serait maintenant d'attendre 3 bons mois que les premiers retours d'exploitation réelle arrivent, en d'autres termes : wait and see.

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