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Le sable du Sahara fait croître... les Bahamas 2014-07-30_15:27:00 +0200
30 Jul 2014 03:27 pm | webmaster@futura-sciences.com (Futura-Sciences)
Une nouvelle étude conduite par des géologues de l'université de Miami suggère que les poussières du Sahara ont joué un rôle majeur dans la formation des îles Bahamas. Riches en fer, elles auraient littéralement fertilisé la mer peu profonde recouvrant cette plateforme carbonatée et en... |
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Le gaz, énergie de la transition ? 2014-07-30_15:13:30 +0200
30 Jul 2014 03:13 pm | Anonymous
À l'heure de la transition énergétique, il est devenu nécessaire de disposer d'une source d'énergie stockable assurant le relais des énergies renouvelables intermittentes. Ainsi, certains présentent le XXIe siècle comme l'âge d'or du gaz, le considérant comme la moins nocive des énergies fossiles. |
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Microbiote: des bactéries qui nous veulent du bien 2014-07-30_14:55:18 +0200
30 Jul 2014 02:55 pm | Anonymous
Il pèse entre un et cinq kilos, vit dans vos intestins et se nourrit de ce que vous avalez. Mais loin de vous être hostile, le microbiote est votre indispensable allié. |
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Le vaisseau Georges Lemaître en route vers l'ISS 2014-07-30_14:52:25 +0200
30 Jul 2014 02:52 pm | Anonymous
30/07/2014 - Philippe Henarejos
Le dernier cargo de l'agence spatiale européenne (ESA) n'a pas manqué son envol. Ce 30 juillet 2014, comme prévu, il a décollé de Guyane à 1 h 47 (heure de Paris) propulsé par une fusée Ariane 5 ES. Cette image a été prise quelques secondes après qu'il ait quitté sont aire de lancement. Baptisé Georges Lemaître, cet ATV (Automated Transfer Vehicle) est le cinquième et dernier construit par l'Europe pour ravitailler la Station spatiale internationale (ISS) qui doit rejoindre le 12 août. C'est aussi le celui de tous les records. Avec une masse totale de plus de 20 tonnes, il est le plus lourd et le plus chargé de tous les cargos automatiques envoyés vers l'ISS. A son bord, s...
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Encelade : des geysers venus des profondeurs 2014-07-30_13:44:34 +0200
30 Jul 2014 01:44 pm | Anonymous
30/07/2014 - Fanny Bouilly
Les étonnants geysers d'Encelade proviennent d'une zone profonde du satellite de Saturne. C'est ce que révèle une étude menée grâce aux observations de la sonde Cassini. Découverts en 2005, ces panaches sont composés de fines particules glacées et de vapeur d'eau. Ils se forment au-dessus des stries qui sillonnent la surface d'Encelade. Jusqu'ici, on supposait que les forces de marées, dues à la puissante gravité de Saturne, entraînaient des frottements au niveau des failles et provoquaient un réchauffement du sol faisant jaillir ces geysers. Grâce aux données de Cassini, la planétologue Carolyn Porco, responsable de l'imagerie de la sonde, et son équipe ont confirmé que ...
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Début des observations scientifiques de Gaia 2014-07-30_13:39:18 +0200
30 Jul 2014 01:39 pm | Anonymous
30/07/2014
La sonde européenne Gaia, lancée le 19 décembre 2013, s'apprête à débuter ses mesures pour une durée de 5 ans. Grâce à ses deux télescopes, la sonde devra relever la position, le mouvement et les propriétés physiques d'un milliard d'étoiles dans notre galaxie. Durant sa phase de tests en vol, Gaia a connu quelques difficultés. Un dépôt de glace a été repéré sur certains de ses instruments optiques, que les ingénieurs de l'ESA sont parvenus à réduire, et une lumière parasite a été détectée. Elle pourrait venir perturber l'observation des étoiles les moins brillantes, sans toutefois mettre en péril la mission....
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En route vers l'ISS, le dernier ATV-5 sera le dernier mais pas tout à fait... 2014-07-30_13:33:00 +0200
30 Jul 2014 01:33 pm | Rémy Decourt, Futura-Sciences
Hier, le lanceur Ariane 5 a mis en orbite l'ATV-5 Georges Lemaître, ce véhicule automatique qui va, tout seul, rattraper la Station spatiale internationale, sans aucune aide humaine. Pour cette ultime mission d'un ATV, l'astronaute Jean-François Clervoy fait le bilan de ce programme européen de... |
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Une filière pour les déchets métalliques TFA 2014-07-30_06:42:59 +0000
30 Jul 2014 08:42 am | Anonymous
Que faire des déchets métalliques de très faible activité, issus des zones d'activité nucléaire ? Jusqu'à présent, ces déchets TFA, qu'ils soient très faiblement radioactifs (activité moyenne autour de 10 000 Bq par kilo, proche de la radioactivité naturelle) ou pas du tout, finissent en stockage définitif.
L'Andra dans un rapport d'activité de 2012, a évalué sur la période 2012-2041, la production de déchets métalliques TFA (principalement de l'acier) à environ 10 000 tonnes par an. Avec les futurs programmes de démantèlement d’installations nucléaires françaises (par exemple 160 000 tonnes à démanteler à partir de 2020 sur l'usine Georges Besse I d'Eurodif, exploitée par Areva) et l'arrivée à saturation des capacités de stockage du Cires à l’horizon 2030 (source PNGMDR*), une réflexion des principaux acteurs est née. En liaison avec Areva, le CEA et EDF, des travaux seront présentés avant la fin de l'année pour évaluer les modalités de création d'une filière de valorisation de ces déchets. Le constat du très faible impact radiologique associé à la manipulation des déchets TFA a conduit les producteurs de déchets à proposer de nouvelles pistes. L'idée envisagée serait d'utiliser par exemple ces déchets métalliques une fois fondus, dans de nouveaux projets d'installations nucléaires ou dans la fabrication des colis de déchets en vue de leur stockage, plus compacts que le béton. Car l'absence de seuil de libération dans la réglementation française (la seule au monde) n'autorise pas de recycler ce type de déchets en dehors de la filière nucléaire. Contrairement à d'autres pays européens comme l'Allemagne ou la Suède qui disposent de deux fonderies dédiées à un recyclage hors nucléaire. Cette contrainte pourrait être regrettable selon le groupe de travail de la Cligeet** : « sous prétexte qu'il y a eu des négligences et des abus dans ce domaine dans le passé, l'ASN s'interdit aujourd'hui toute ouverture dans ce sens. Pourtant, ces déchets TFA passés en fonderie sont éliminés de toute trace de radioactivité. Les métaux pourraient tout à fait prendre le chemin de la sidérurgie, explique Christophe Vallat de la Cligeet. D'autant plus que dans le flux, certains déchets ne sont même pas contaminés ». Autre facteur qui ne joue pas en faveur du changement : le coût de traitement. Selon Bruno Cahen, directeur industriel de l'Andra, cette réflexion doit aussi porter sur l'impact économique : « sachant que la France dispose d'un coût de stockage dix fois moins cher que celui pratiqué en Allemagne par exemple, on n'a pas cherché jusqu'à présent d'autre solution de traitement ». Autre sujet à polémique, l'emplacement d'une nouvelle fonderie envisagée dans le cadre d'une valorisation des déchets métalliques. Où la mettre ? Trois solutions sont possibles selon l'Andra : sur l'ancienne unité de fusion de l'usine Centraco à Marcoule, sur le site à démanteler d'Eurodif pour limiter le transport ou bien près du lieu de consommation, à savoir proche du Cires (Aube), entre la Meuse et la Haute-Marne, territoire accessible par voie fluviale et ferroviaire et à forte tradition de forge et de fonderie. « Nous ne transigerons jamais sur la sécurité et la santé. Mais pourquoi ne pas faire du Tricastin un territoire -pilote où des solutions seraient imaginées sur la valorisation de ces matériaux ? » avait déclaré le 21 juin 2012 Didier Guillaume, président de la Cligeet lors d’une séance plénière où le collège des syndicats avait présenté l’idée de recycler ces aciers.
* Plan national de gestion des matières et des déchets radioactifs ** Commission locale d'information des grands équipements énergétiques du Tricastin
Source
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CERN through the eyes of a young scientist 2014-07-29_15:59:25 +0000
29 Jul 2014 05:59 pm | Anonymous
Inspired by the event at the UNESCO headquarters in Paris that celebrated the anniversary of the signature of the CERN convention, Sophie Redford wrote about her impressions on joining CERN as a young researcher. A CERN fellow designing detectors for the future CLIC accelerator, she did her PhD at the University of Oxford, observing rare B decays with the LHCb experiment.
The "60 years of CERN" celebrations give us all the chance to reflect on the history of our organization. As a young scientist, the early years of CERN might seem remote. However, the continuity of CERN and its values connects this distant past to the present day. At CERN, the past isn't so far away.
Of course, no matter when you arrive at CERN for the first time, it doesn't take long to realize that you are in a place with a special history. On the surface, CERN can appear scruffy. Haphazard buildings produce a maze of long corridors, labelled with seemingly random numbers to test the navigation of newcomers. Auditoriums retain original artefacts: ashtrays and blackboards unchanged since the beginning, alongside the modern-day gadgetry of projectors and video-conferencing systems.
The theme of re-use continues underground, where older machines form the injection chain for new. It is here, in the tunnels and caverns buried below the French and Swiss countryside, where CERN spends its money. Accelerators and detectors, their immense size juxtaposed with their minute detail, constitute an unparalleled scientific experiment gone global. As a young scientist this is the stuff of dreams, and you can't help but feel lucky to be a part of it.
If the physical situation of CERN seems unique, so is the sociological. The row of flags flying outside the main entrance is a colourful red herring, for aside from our diverse allegiances during international sporting events, nationality is meaningless inside CERN. Despite its location straddling international borders, despite our wallets containing two currencies and our heads many languages, scientific excellence is the only thing that matters here. This is a community driven by curiosity, where coffee and cooperation result in particle beams. At CERN we question the laws of our universe. Many answers are as yet unknown but our shared goal of discovery bonds us irrespective of age or nationality.
As a young scientist at CERN I feel welcome and valued; this is an environment where reason and logic rule. I feel privileged to profit from the past endeavour of others, and great pride to contribute to the future of that which others have started. I have learnt that together we can achieve extraordinary things, and that seemingly insurmountable problems can be overcome.
In many ways, the second 60 years of CERN will be nothing like the first. But by continuing to build on our past we can carry the founding values of CERN into the future, allowing the next generation of young scientists to pursue knowledge without borders.
By Sophie Redford |
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Ultime lancement d'un ATV ce soir : les détails du tir 2014-07-29_17:23:00 +0200
29 Jul 2014 05:23 pm | Rémy Decourt, Futura-Sciences
Six ans après le lancement du premier ATV, le cinquième et dernier de la série sera lancé dans la nuit du 29 au 30 juillet. Ce véhicule automatique de transfert (Automated Transfer Vehicle) est une des trois contributions majeures de l'Europe au programme de la Station spatiale internationale,... |
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